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Cela fait quelques mois que le VDAB relève un nombre croissant d’offres d’emploi.

Ce signal positif provenant du marché du travail va-t-il raviver la confiance des entreprises et des collaborateurs dans un avenir plus ferme ?

De nombreuses entreprises font face à des collaborateurs démotivés qui ne perçoivent plus d’avenir dans leur job. S’ils n’ont pas encore eu de burn-out ou d’autres raisons d’être absent légalement, alors ils viennent travailler juste pour le salaire. Ils arrivent le matin légèrement en retard et repartent le soir, un peu trop tôt. Toute occasion est bonne à saisir pour se plaindre auprès des collègues, exprimer la crainte que l’entreprise, son département ou sa fonction n’en a plus pour longtemps. Et puis, il y a ce tapage cynique sur ce que gagne le management pour, au fond, une si faible valeur ajoutée… Il en est ou peut paraître parfois ainsi, et cela n’améliore pas l’atmosphère. C’est parfois même très contagieux. 

Un examen de conscience

Une entreprise confrontée au négativisme, et dont les vendeurs avancent les embouteillages comme excuse pour les faibles résultats… Une telle entreprise – ou du moins son (top) management – se trouve face à un examen de conscience. Sa tâche principale a-t-elle évolué vers la réduction des coûts, des restructurations ou des campagnes de rationalisation ? Alors il faut apprendre à vivre avec ce phénomène. Mais si la tâche principale est le développement d’une success story, alors ce phénomène doit être ‘solutionné’.

Car – et tout le monde le dit mais oublie de l’appliquer – les collaborateurs positifs sont le principal capital d’une entreprise. C’est plus important que le capital financier, et tout aussi important (et déterminant) que les bénéfices d’un portefeuille de produits et de services.

Motiver le personnel, voilà le message. Pas en punissant un comportement démotivé. Le malaise ne peut être stoppé en prenant ‘les pires comme exemple’. Dans les moments difficiles, une approche positive s’impose.

Voyez la politique du personnel comme un lourd autocar par rapport à une caravane de voitures dans un trafic dense. Les covoitureurs, impuissants, perturbent souvent la concentration, voire la sécurité, par leur comportement. Seul le chauffeur peut anticiper de manière proactive. Il peut faire le nécessaire pour atteindre sa destination en traversant le trafic rapidement et en toute sécurité. Une entreprise moderne se doit d’être agile. Fini la politique de l’autocar. Chaque collaborateur doit pouvoir être mis au volant, au volant de son propre travail.  

Le management est le GPS 

Cela nécessite un management qui a une écoute proactive, qui traite les propositions valorisantes – même lors de trajets novateurs – et les intègre dans sa stratégie globale. Le management dans le ‘changing world’ actuel a pour mission de mettre des outils performants à la disposition. En d’autres termes, d’offrir une flotte performante : atteindre les résultats avec des voitures de course, offrir un support avec des camionnettes, des dépanneuses, des grues … Le management est le GPS qui aide les chauffeurs, les coache…

Le message est ‘déléguer’. Difficile et stressant mais l’unique chance de réussite. Et si quelqu’un s’arrête ou s’en va ? Cela n’étouffera pas la dynamique de la caravane.

Ir. Alfons Calders

 

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